Ces chiffres correspondent à des moyennes nationales qui englobent la consommation de tortillas des Mexicains pauvres (70 % de la population) et très pauvres (15 % de la population). Ils sont donc nécessairement imprécis, puisque ces catégories n’ont pas le même pouvoir d’achat. Ce qu’il faut constater, c’est une tendance très significative : la ration quotidienne de tortillas des Mexicains pauvres - donc la majorité de la population - ne cesse de s’amenuiser tandis que la consommation de soupes à très faible valeur nutritive ne cesse d’augmenter.