@pipiou
selon Flora Tristan : « tout opprimé trouve un être à opprimer, c’est sa femme. Elle est la prolétaire du prolétaire« .
Et, selon un autre adage : »The dearest wish of a slave is not to be free, but to have a slave of his own« > Le voeu le plus cher d’un esclave n’est pas tant d’être libre, mais d’avoir un esclave à lui.
Le rapport dominant/dominé se trouve dans toutes les strates de la société, hélas. Mais, en procédant couche par couche on fera peut-être des progrès. Cependant, en invoquant la lutte des classes et un avenir souvent incertain et lointain, il ne faut pas délaisser le »ici et maintenant", et ce à l’échelle d’une vie humaine. Le féminisme d’aujourd’hui, agressif , vindicatif, s’élargira-t-il au reste de la société et ses paradigmes de domination ? Là est la question.