@Alren
vous savez sans doute que les pentes ça se parcourt dans un sens ou dans l’autre.
Si la pente naturelle de l’individu le pousse à se laisser emporter vers le bas plutôt que de monter, alors il ne faudra pas compter sur les machines pour sauver ce qu’il nous reste d’humain. Combien d’entre nous seraient capables de faire ce que faisaient couramment nos ancêtres ?
Sauf erreur, Pierre Boulle dans son roman « La planète des singes » ne disait pas autre chose. Et avec lui, bien d’autres écrivains.