Le cas Hawking est un cas à part parce que d’une part il était extrêmement brillant, maladie ou pas, et que d’autre part, il a vécu 50 ans de plus que « prévu ».
La deuxième partie de votre article est plus intéressante, parce qu’elle met le doigt effectivement sur une gêne et même un tabou : on ne sait pas comment se comporter envers les handicapés, alors qu’eux, très certainement, voudraient sans doute être traités simplement comme les autres. Triste.