Ah, Lucky Luke, l’autre histoire de l’Amérique, le génocide tranquille...
Les bandits et les indiens sont toujours représentés comme des demeurés, le nègre apparaît peu dans le décors, le chinois est blanchisseur, bref, si l’auteur n’a pas reçu de subsides de la grande machine à décérébrer, c’est qu’il s’est fait avoir.
Les mômes ne lisent plus ce genre de conneries, heureusement.