Vous écrivez : Dans le même temps, certains parents se retrouvent pris dans les filets
de l’ASE à cause de dénonciations calomnieuses (en cas de divorce
notamment mais aussi par des connaissances ou des voisins mus par un
esprit de vengeance) et, comme les services du département n’enquêtent
pas préalablement, des enfants sont arrachés à leur famille par respect
du principe de précaution mais au détriment de la présomption
d’innocence.
De quel principe de précaution parlez-vous ? Vous montrez au contraire qu’aucune précaution n’est prise. On fait courir un grand risque à une famille. Il serait indispensable d’établir les faits avant pour éviter ces dégâts, sur les enfants d’abord, mais aussi sur le reste de la famille. La précaution fait ici cruellement défaut.