Il y a un principe de base à conserver à l’esprit et à diffuser autour de soi (y compris au sein de l’éducation nationale souvent en friche) :
Nul ne peur se faire justice à lui-même.
Pareil pour les Etats.
S’il y a un problème, on dénonce via la filière diplomatique et les médias et surtout on fait venir des observateur (les plus neutres possibles) pour vérifier les dires. Puis on porte plainte auprès d’une cour de justice nationale ou internationale.
C’est un peu lourd et plus long, mais cela diminue la liste des guerres ouvertes.

Lorsque l’on envahis un pays sans autorisation de ce pays et sans mandat de l’ONU, on perd une énorme part de crédibilité.

Puis lorsqu’on bombarde sans retenu, lorsque l’on maltraite, pille, saccage et détruit toute trace culturelle (au lieu de s’en tenir à une cible officielle, les YPG, au lieu de tenir un engagement de retenu) on perd le peu de crédibilité qui restait.

Certes, il restera toujours une cohorte de « troll » bénévoles ou payés pour hurler à la mort contre les kurdes et pour applaudir la poursuite des invasions (annoncées quasi quotidiennement par le tyran Erdogan et les égorgeurs islamo-fascistes) .

A chacun son éthique, sa morale, sa mollesse de caractère face à la propagande et à l’épreuve ; 
à chacun son camp.
J’ai choisi le mien.

(Cela ne consiste pas à pleurnicher, loin de là. Cela s’appele faire son devoir de citoyen).

Je suis heureux que le Parlement Européen ait validé cette ligne politique et diplomatique à une remarquable et louable unanimité.

Par contre, en France, avec le nombre de turco-islamo-collabos décérébrés qui pullulent dans les réseaux sociaux, je me prépare (nous nous préparons) à une élection européenne très « chahutée ». Au moins, ce sera sans bombes (du moins le républicain que je suis ose l’espérer).
A+
Cordialement.
Tristement.