Le plus gros danger pour notre langue est sans doute son absence, voir sa ringardisation, de toute ce qui fait la modernité.
Nouvelles technologies bien sûr, mais aussi nouveau concept, ou simplement expression à la dernière mode parmis l’encadrement de nos entreprises ou chez l’animateur radio ne peuvent être exprimés que par des mots anglophones ou à minima en ayant la sonorité.
Les personnes attachées au français, telle l’auteure, devraient sans doute déplacer leurs efforts sur ce terrain. Plus qu’a fossiliser nos usages de la langue.
Sauf à accepter que des pans entiers de nos vies excluent cette langue, si fière de sa complexité mais reléguée à la littérature et autres exercices de démonstration prétentieux.