Le chapitre 2, « L’inconscient spirituel », développe l’idée nouvelle de la double nature de l’inconscient. Domaine des pulsions, pour Freud, l’inconscient est également le domaine des plus grandes aspirations spirituelles, selon Frankl qui n’hésite pas à parler d’une « vie spirituelle inconsciente ». Au regard de cette particularité jusqu’alors négligée, l’auteur assigne à la logothérapie de prendre en compte cette dimension cachée, après que l’analyse existentielle l’a circonscrite au terme d’une analyse phénoménologique.
Pourquoi négligée ? CG Jung en a parlé bien avant Frankl il me semble. Il en parlait même alors que Frankl était encore écolier en culotte courte…
Bon, votre texte parle de Jung un peu plus loin m’enfin je ne comprends guère cette façon de faire croire que la religiosité inconsciente n’avait pas été étudié par d’autres…
Au moins les deux se rejoignent sur ce point là.
Enfin, la renommée et l’aura de Jung sont bien supérieures à celle de Frankl.
Bientôt un texte sur Jung peut-être ?