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En réponse à :


Hermes Hermes 9 avril 2018 13:39

Bonjour,

juste une petite réflexion en passant : quand une espèce propsère et est en nombre important, les brassages statstiques de la reproduction ont tendance à éliminer les écarts des perturbations génétiques qui donneraient de nouveaux traits différenciés à une population.

Quand une espèce est isolée et en nombre réduit (ce qu’on peut appeler une situation de stress, car il y a menace de disparition), l’effet statistique disparaît, et les nouveaux traits peuvent devenir prédominants plus rapidement. Des expériences ont montré qu’en agissant par sélection sur une espèce, une trentane de générations suffisent.

Ce que cela implique :
- 1 - les évolutions sont nécessairements apparues à des moments ou les espèces ont été réduites à de faibles populations, et qu’il ya surement eu des « sauts » evolutifs
- 2 - Le faible nombre d’individus ayant participé à des sauts évolutifs rend fatalement improbable la découverte des chaînons manquants
- 3 - le brassage global de la population humaine rend fort improbable une nouvelle évolution majeure
- 4 - il est par contre beaucoup plus probables que dans les espèces survivantes à l’extinction de masse que nous sommes en train de provoquer, il y ait de évolutions marquantes (encore faut-il que nous laissions un peu de temps, quelques générations).

Bien sûr cela ne sont que des hypothèses.....

Bons débats !
 smiley


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