Voici ce que j’écrivais il y a quatre jours :
"La baudruche Macron est en train de se dégonfler. Lentement, mais
sûrement. Les classes moyennes médiocrement cultivées qu’une rhétorique
de petit curé, pleine de bonnes intentions immensément niaises,
séduisait encore il y a quelques semaines, sont en train de se rendre
compte que tout cela n’était, comme dirait l’Ecclésiaste, « que vanité
et poursuite du vent ».
Eh bien, le « petit curé » n’aura pas pu s’empêcher d’aller exercer ses talents de prédicateur laborieux aux Bernardins, et ça lui retombe maintenant sur la tronche. Je ne le plaindrai pas.
Cela dit, j’approuve totalement ce qu’écrivait Pierre Régnier un peu plus haut : « violer la laïcité au profit de l’église catholique est cent fois moins dangereux que de se coucher devant l’islam mille fois plus dangereux que cette Église. »
Le problème, c’est qu’il n’y a pas plus à flatter qu’à emmerder (pour ne pas paraître « seulement islamophobe ») des religions françaises depuis longtemps moribondes et parfaitement tolérables puisqu’elle ne tuent personne et prêchent même désormais la tolérance qu’on croyait réservée aux « maisons », ayant dès longtemps compris que le principe de laïcité ne les menaçait pas.
On ne peut certainement pas en dire autant d’une mafia islamiste dont les parrains, parmi les Frères musulmans et les salafistes, et malgré des centaines de morts et d’estropiés dont ils sont responsables, ont toujours pignon sur rue. C’est ceux-là qu’il faut combattre et même interdire, à qui il faut clouer le bec lorsqu’ils profitent des faiblesses des institutions démocratiques pour intenter des procès, au nom d’une « islamophobie » justifiée et nécessaire, à ceux qui n’ont pas la lâcheté de les laisser prospérer sans réagir.
Quand je vois qu’on aura osé traîner en correctionnelle, avec une évidente complicité de l’institution judiciaire, un Houellebecq, et plus récemment Bruckner et Bensoussan, qui auront eu le mérite et le courage de dire la vérité sur l’islam, j’entre en fureur.