Je peux me tromper, mais il me semble qu’on sent sous les mots de l’auteur comme un petit coup de blues. A un certain âge en effet, on se retourne et on constate qu’on n’a pas fait ce qu’on a voulu, ou que ça ne s’est pas passé comme on le rêvait. Alors on se dit que c’était le destin, ou les gènes, pour apaiser les regrets. Et on écrit un article sur la liberté d’être, qui ne résoudra rien.