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sls0 sls0 15 mai 2018 03:51

@Massada
Israël ce n’est pas la convention de la Haye c’est le talmud.

Le non juif n’est pas un adam ou être humain, s’il y a risque on liquide que ce soit homme femme ou enfant.


Réponse de rabbi Shimon Weiser à Moshé un soldat qui se posait des questions sur la conduite à tenir.
« Avec l’aide du Ciel, cher Moshé, mes salutations.
« Je commence cette lettre ce soir, mais je sais que je ne pourrai la terminer aujourd’hui, car je suis pris, et car je voudrais aussi en faire une longue lettre, afin de répondre pleinement à tes questions, et pour cela je vais devoir recopier certaines choses dites par nos sages, d’heureuse mémoire, et les interpréter.
« Selon la coutume des nations non-juives la guerre a ses propres règles, comme un jeu, comme les règles du basket-ball ou du football, par exemple. Mais selon les dires de nos sages, d’heureuse mémoire, […] la guerre, pour nous, n’est pas un jeu mais une nécessité vitale, et c’est l’unique principe qui doit nous guider pour décider comment la mener. D’une part […] l’enseignement est, apparemment, que si un juif tue délibérément un gentil, il est considéré comme un meurtrier, et — hormis le fait qu’aucun tribunal n’a le droit de le punir — la gravité de son acte est égale à celle de tout autre meurtre. Mais nous trouvons chez les mêmes autorités, à un autre endroit […] que le rabbin Shim‘on avait accoutumé de dire : “Le meilleur des gentils — tue-le ; le meilleur des serpents — écrase-lui la cervelle.”
« Mais peut-être que le mot “tuer”, dans cette sentence de rabbi Shim‘on, est employé seulement dans un sens figuré, et non littéralement : il signifierait alors “opprimer” ou quelque attitude semblable, et de cette façon on éviterait la contradiction avec les utorités citées plus haut ? Ou bien l’on pourrait soutenir que cet adage, même dans son sens littéral, exprime [uniquement] son avis personnel, contesté par d’autres sages [cités auparavant]. Or, la véritable explication, nous la trouvons dans les Tosafot92. Là […] nous avons une explication du précepte talmudique sur le cas du gentil qui tombe dans un puits : il ne faut pas l’aider à en sortir, dit le Talmud, mais il ne faut pas non plus l’y pousser pour le tuer, ce qui signifie, vis- à-vis des gentils, qu’il ne faut ni les sauver de la mort ni les tuer directement. Les Tosafot, donc, écrivent à ce sujet : “Et si l’on objecte qu’il est dit ailleurs Le meilleur des gentils — tue-le, la réponse est que ce [dernier] adage s’applique au temps de guerre.” […]
« Selon les auteurs des Tosafot, il faut faire une distinction entre le temps de guerre et la paix : donc il est interdit de tuer des gentils en temps de paix, mais si le cas se présente au cours d’une guerre, c’est une mitzvah [un impératif religieux] de les tuer.
[…]
« Et voici la différence entre un juif et un gentil : bien que la règle “Quiconque vient te tuer, tue-le d’abord” vaille aussi pour un juif, comme il est dit dans le traité Sanhedrin [du Talmud], page 72a, elle ne doit être appliquée évidemment que s’il y a motif [actuel] de craindre que cette personne veut vous tuer. Or, en temps de guerre, c’est ce que l’on redoute normalement d’un gentil, sauf s’il est évident qu’il n’a aucune mauvaise intention. Ceci, c’est la règle de la “pureté des armes” selon la Halakhah — et non selon la conception étrangère maintenant acceptée dans l’armée israélienne et qui a été la cause de nombreuses pertes [juives]. Je te joins une coupure de journal : c’est le discours prononcé la semaine dernière à la Knesset par rabbi Kalman Kahane, il montre avec beaucoup de vérité — et aussi de douleur — comment cette “pureté des armes” a provoqué des morts.
« Je m’arrête ici, en espérant que tu n’auras pas été rebuté par la longueur de cette lettre. Nous discutions déjà de cette question avantl’arrivée de ta lettre, mais celle-ci m’a poussé à exposer par écrit tout le sujet.
« Sois en paix, toi et tous les juifs, et [j’espère] à bientôt, comme tu dis. Bien à toi — Shim‘on. » .

C’est extrait d’un livre écrit par un juif israélien qui a un conscience et qui s’est tapé les 11.000 pages du talmud écrit en hébreu et araméen.
Son nom c’est Israël Shahak, son livre histoire et religion juive se trouve sur internet. On comprend mieux le sionisme qui se sert du talmud comme charpente.

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