@foufouille
sauf que les animaux n’ont ni armes ni police ............
L’arme est un outil, on a vu des singes les utiliser
Quant à la police, elle se trouve chez des espèces vivant en grandes communautés. Les fourmis par exemple. Une fourmi s’en allant travailler à l’extérieur de la fourmilière est bannie à jamais du centre de celle-ci. Elle est refoulée par des fourmis dédiées.Les fourmis ont aussi des armées, des infirmiers qui ramassent les blessés.
@ Hervé
je décris une relation dans son principe général, donc, valable
partout, c’est à dire, qu’entre groupes distinct, la compétition domine,
alors qu’à l’intérieur d’un groupe, c’est la coopération qui commande
et vos exemples ne disent pas le contraire.
Tout à fait et sous l’angle du potentiel humain capable de créer maintes nouvelles coopérations et compétitions. Cependant la compétition pour établir un chef de groupe cela contredit momentanément le rôle uniquement coopératif.
Et j’apprécie l’article car je pense aussi qu’il faut commencer au commencement, rien que pour s’assurer qu’on a pas omis une chose fondamentale qui remet en cause une idée que l’on pensait acquise.
Maintenant, ne croyez vous pas que l’humanité ne se trouve pas directement impacté par les conséquences de ses choix ?
Non, d’ailleurs je me suis demandé quel goût pouvaient avoir les dirigeants du FMI qui se sont systématiquement trompés et ont fait tomber dans la misère des pays entiers. Le FMI ne se présente-t-il pas comme l’archétype de la coopération dans notre système ?
Ce que je dis dans l’article, et comme vous le dites dans votre
commentaire, la condition de la coopération, c’est la collectivisation
de la force,
Vous ne changerez pas la nature de l’animal en changeant son environnement. Avec tout notre savoir, un requin survit une semaine en captivité, et on ne peut être que qu’ulcéré par l’agonie de cette bete pourtant si monstrueuse.
Les communistes se chamaillent jusqu’à ce que le moins sincère d’entre eux prenne le pouvoir et applique l’inimaginable contraire à l’esprit de départ.
or, ce que propose Trump est exactement le contraire, mais
où personne finalement dont les dirigeants russes entre autres, ne
s’opposent car il est impossible de parler d’une collectivisation de la
force tout en affirmant sa propre souveraineté. Cela en raison du
principe de non contradiction qui est inviolable dans la réalité
physique, sauf dans l’imaginaire !
Il faudrait recenser tous les clans tous leurs intérêts dans la bouillie. Trump n’est d’ailleurs qu’une conséquence de la colère contre ses prédécesseurs dont les politiques n’ont jamais pu être corrigées et qui vivent dans la luxure aujourd’hui. On en revient à la conséquence prompte et directe qui évite à un système de dégénérer ne trouvez-vous pas ?
Une alliance ponctuelle n’est pas une coopération structurelle et Trump
vient de le rappeler en se torchant le cul avec l’accord sur le
nucléaire iranien. Comme tous les dictateurs se sont torchés le cul
depuis le début avec la charte des droits de l’humain qu’ils ont
pourtant signés.
Là vous rentrez trop dans le détail. Trump ne sait de l’Iran que ce que ses conseillers inamovibles ont bien voulu lui dire. Les conseillers : encore la conséquence de la tolérance de l’inefficacité. C’est le même excès de tolérance que tous les extrêmes dénoncent, manipulées par des petits chefs illégitimes pour leur propre compte.
Notre société est devenue une bouillie car elle est intrinsèquement incapable de rejeter les mauvais leaders elle en est même devenue incapable de différencier le bon du mauvais