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phan 23 mai 2018 13:31

@Christian Labrune

Arrêtez s’il vous plaît de raconter des stupidités, et lisez les historiens sérieux.

Je parle des Pyramides, vous parlez de Jérusalem : qui est stupide ?
Hérodote un historien pas sérieux ? « l’Égypte est un don du Nil », le Nil est indissociable de l’identité égyptienne antique.

Un mensonge répété mille fois se transforme-t-il en vérité ?

 Ainsi, la bataille d’Azincourt (1415) tiendrait son nom d’un château d’Azincourt dont les archéologues anglais, malgré tous leurs efforts, ont toujours été incapables de retrouver la moindre ruine. Ils ne vont pas jusqu’à dire que cette bataille, qui fut pour eux une victoire absolument écrasante et témoignant de leur incontestable supériorité militaire, n’a jamais eu lieu.

Puisque vous ayez la flemme de dérouler les liens proposés, je fais quelques extraits...

Les recherches effectuées dans le cadre de la préparation de cette manifestation ont permis de redécouvrir un lot d’objets provenant du champ de bataille d’Azincourt (1415). Ces objets ont été donnés au musée d’Artillerie (ancêtre du musée de l’Armée) par Jacques Boucher de Perthes en 1847. Ce dernier a contribué à l’enrichissement des collections par des dons d’objets remarquables issus de ses « fouilles », permettant de compléter des séries chronologiques d’armes anciennes. C’est ainsi que le musée d’Artillerie est devenu l’un des premiers musées archéologiques de France, bien avant la création du musée des Antiquités nationales en 1862. Parmi les objets du champ de bataille d’Azincourt on trouve des éperons, des fers de pique, les restes d’un couteau de brèche, un vouge etc.

À la recherche des fosses communes de la bataille d’Azincourt…

La préparation du 600e anniversaire de la bataille d’Azincourt se poursuit, au Centre historique médiéval. Sur tous les fronts. Et cette fois, le CHM a décidé de lorgner du côté de l’archéologie… Avec un travail et un partenariat qui débute entre le CHM, l’Université d’Artois et la gendarmerie. L’idée ? Retrouver les fosses communes où sont enterrés les soldats. 


Une quinzaine de chevaliers inhumés sous l’abbatiale d’Auchy-lès-Hesdin
Le Centre Historique Médiéval d’Azincourt - qui présente sur place aux visiteurs la bataille, ses enjeux et son contexte - commémorera l’an prochain les 600 ans de cette funeste défaite, épisode majeur de la Guerre de Cent Ans. La Gendarmerie Nationale a souhaité s’y associer car c’est à Azincourt qu’on recensa le premier gendarme mort au combat : Le Gallois de Fougières, prévôt des Maréchaux de France. Il est le seul combattant d’Azincourt dont le nom est aujourd’hui honoré sur une stèle installée à proximité du champ de bataille. Décrêpie et à peine lisible, elle sera remplacée par une autre stèle, plus importante, à l’occasion des commémorations des 600 ans.
Le squelette de Gallois de Fougières a été retrouvé en 1936 sous la dalle de l’abbatiale d’Auchy-lès-Hesdin, au terme d’une minutieuse enquête menée par un officier de gendarmerie passionné d’histoire, le capitaine Benoit-Guyod. Deux ans plus tôt, il avait découvert dans les archives de la bibliothèque municipale de Besançon le certificat d’inhumation du prévôt des Maréchaux et d’autres seigneurs tués à Azincourt qui décrivait avec précision l’emplacement des corps. « Lorsqu’ils vont fouiller, ils vont trouver dans un premier temps des ossements qui ne correspondent pas car ils sont enterrés trop haut​ », raconte le commandant Frédéric Evrard, directeur de la communication de la Gendarmerie du Nord Pas-de-Calais, qui s’est pris de passion lui aussi pour cette histoire. « Lorsqu’ils arrivent à 1 mètre 30 du sol, comme décrit dans le document, ils tombent sur d’autres ossements qui correspondent à ceux d’un adolescent. Or, ils savent que cet adolescent existait, c’est le Petit Hollandes ​(fils du bailli de Rouen et écuyer de Gallois de Fougières, il est mort à Azincourt à l’âge de 15 ans NDR). Et juste à côté, ils trouveront des restes humains qui seront identifiés comme ceux de Gallois de Fougières ».

Dans le village d’Azincourt, un Centre Historique Médiéval retrace ce légendaire événement à travers des maquettes, des plans, des épées, des armures et bien d’autres objets de l’époque, dont quelques vestiges authentiques retrouvés sur le champ de bataille dans les années 1930, notamment un éperon, un étrier et un boulet de canon. Il accueille chaque année plus de 30 000 visiteurs. Des touristes britanniques principalement.


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