Pour foufouille, et ceux qui n’ont pas lu les commentaires de mon précédent article, je cite intégralement l’un de ppazer :
" J’aurais aimé savoir si ça concernait
les armoires Teleperm XS (contrôle commande de sûreté, pour le PS –
Protection System – ou le RCSL – Reactor Core Suveillance and
Limitation) ou les armoires T2000 (contrôle commande opérationnel).
Ça la fout mal, quand même.
Dire qu’on a piqué les cadenas, mais qu’on n’a rien touché à
l’intérieur, ça me parait un peu dur à avaler. Dès qu’on ouvre les
armoires, on a accès aux borniers : il faudra donc, quoi qu’il en soit,
vérifier au moins tous les borniers pour s’assurer qu’aucune pinoche n’a
été modifiée. Il faudra vérifier les systèmes d’alimentation, les racks
et les cartes. Et pour faire correctement les choses (on est dans le
nucléaire, quand même), vérifier les checksums des logiciels chargés
dans les cartes SVEx (s’il s’agit de la partie sûreté en TXS).
Il faudra également exécuter une procédure complète de tests périodiques.
Et bien sûr, tout cela en suivant des plans, procédures et rapports
validés par l’ingénierie et par le client : La V&V va avoir du
boulot.
Constater la disparition des cadenas du contrôle-commande, et dire
comme ça qu’il n’y a pas de souci, c’est juste de la com qui se veut
rassurante.
Au fait, qu’en dit l’ASN ? J’aimerais bien avoir leur son de cloche. "