Bonjour, Montdragon
Merci, monsieur le professeur. Je vous signale toutefois que rien n’oblige, en « bon françois », à placer l’épithète après.
Qui plus est, je m’étonne que vous - qui pourfendez, non sans raison, la prolifération des contraintes de tous ordres - puissiez remettre en cause la licence rédactionnelle de l’auteur d’un texte.