Bonjour, rosemar
Je ne défends pas la moralité des courses de chevaux, cela va de soi.
Pour ce qui est de votre constance à refuser d’admettre les contraintes et les souffrances infligées aux chevaux dressés à des postures antinaturelles pour se produire dans des scénographies très éloignées de ce que sont les attitudes normales de ces magnifiques animaux, c’est ce proverbe qui s’impose : « Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut voir ! »