Ce n’est pas tant la peur que l’ennui.
Le numérique est un outil qui prend trop de place, qui occulte le concret et nous propose un plaisir et un pouvoir factice et dégradé.
Ce qui fait peur c’est pas le numérique mais sa généralisation dans des domaines qui fonctionnaient mieux sans et l’attitude péremptoire telle que la modernité est forcément meilleure et profitable.
Ce qui fait peur, c’est l’attitude de ses promoteurs aveuglés pendant que le numérique entraîne ses dérives absurdes et rétrogrades.