@Croa
Moi je dirais plutôt qu’on a ménagé les larbins et les reproducteurs aussi longtemps qu’on en a eu besoin.
Mais ce temps est fini, ils n’ont même plus besoin des consommateurs puisque le fric se reproduit par scissiparité, qu’il ne vaut rien à l’extérieur du casino et que l’essentiel de la captation se fait par pillage.
On va garder quelques spécimens de vulgum pecus pour le larbinat de base, comme cobaye et banque d’organe sur pattes, mais il est clair qu’ils vont tailler dans le gras d’une façon ou d’une autre. Virus numérotés, guerres, famines, liste non close.
L’économie mondialisée prépare à ça.
Relire le Kissinger des années 70, c’était écrit en toute lettre.