« Régis de
Castelnau lui a réglé son sort dans un papier enlevé que je
vous recommande. »
Il écrit, entre autres, à propos du jet setteur de l’Elysée :
« Ses insultes répétées, ses
provocations grossières, ses initiatives ostensiblement débiles portent un
message clair derrière cette fausse candeur faussement spontanée : « Je suis votre chef, je fais ce que je veux,
comme je veux, quand je veux et, pour commencer, je vous emmerde ». »
C’est à mettre sous les yeux de ceux qui, début mai 2017,
contestaient l’analyse du psychiatre et psychothérapeute Adriano Segatori, membre
du Département de Psychologie juridique et Psychiatrie Médico-légale de
l’Académie Italienne de la Science médico-légale, qui concluait à la
psychopatie du candidat Macron.
Extraits :
« Macron, depuis sa
jeunesse, nourrit une ambition hors norme. Il a besoin du regard et de
l’admiration des autres pour compenser un complexe d’infériorité. Donc nous
sommes confrontés à 3 paradigmes qui définissent un certain type de
personnalité :
« 1. - L’idée
qu’il n’existe pas de limite.
« 2. - Un
sentiment d’omnipotence dès l’enfance, mais encore plus présent à l’âge adulte.
« 3. - Un
narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant.
« Qu’est-ce qui structure
ces trois paradigmes ?
« Cela structure ce
qu’on appelle une psychopathie, car nous sommes confrontés à un individu —
Emmanuel Macron — qui, comme organisation psychique, est parfaitement
définissable comme psychopathe.
(…)
« La personnalité
psychopathe est caractérisée par un nombre infini d’items — disons des points
de références — par exemple :
- « une fascination pour le superficiel,
- « la capacité d’attraction,
- « le malaise dans la confrontation, »
Source avec traduction française :
https://www.youtube.com/watch?v=NNDgsw39m9s&feature=youtu.be