Je préfère encore entendre les mièvreries d’un vieux gauchiste qui ne comprendra jamais dans quelle entourloupe il s’est fourvoyé depuis son adolescence qu’à cette autoflagellation gémissante d’un jeune crétin égocentrique qui changera encore de cap, quand le vent le décidera. Rien de solide dans la tronche.
Vieux gauchiste, nouveau gauchiste, même combat.