On peut aussi parler de scélérats (comme dans la peste de Camus. S’il y a une trentaine d’années, les « névrosés ou »normaux" (j’insiste sur les guillemets) étaient majoritaires dans la société, il convenait alors comme le roseau de s’adapter (plus ou moins bien). Mais comme aujourd’hui, la parano-perversion domine, il n’y a aucune forme de faiblesse à s’éloigner de la toxicité. Comme j’avais vu le GOLEM en 1984, j’ai construit ma vie en fonction. Mais pour ceux qui dépendent de la société pour survivre. bonjour les dégâts. Mieux vaut alors se détacher de la matérialité et partir à la campagne. Les loyers y sont moins cher et la proximité moins risquée,...