@ l’auteur
C’est n’est pas a priori un combat essentiel de protester contre les dérives de l’immobilier en France... mais pourtant, c’est une accumulation de situations de ce type qui m’a fait quitter ce pays.
Le « citoyen » n’existe plus, seul le « consommateur » a encore un peu de valeur, la même valeur que les peuples d’éleveurs accordent à leurs troupeaux.
La « mise en conformité » de tout, y compris de la pensée, est en bonne voie. Les réactions ici même du type « c’est normal, ce sont les règles » témoignent d’une navrante abdication personnelle.
Alors, oui, ceux-là vous méritez les coups de trique de vos propriétaires, vous méritez de paître et d’engraisser dans vos espaces clôturés...
Alors, oui, George, je crains que le départ ne soit la seule option qui vous reste, mais il faut bien viser, les lieux d’atterrissage sans défaut n’existent pas.