@Ecométa
« Il n’y a ni Dieu, ni diable, qui ne sont que faux semblants, faux prétextes, une façon de se démettre en termes de responsabilité personnelles et collectives humaines : se démettre de la simple HUMANITÉ ! »
Je pense pour ma part rigoureusement l’inverse : toute tentative d’éliminer Dieu, donc le diable, du débat est le fruit d’une arrogance typique et irrationnelle qui consiste à exonérer l’humain de sa propre nature et de le démettre, face au mal, des responsabilités immanentes à sa condition.
« Divinité ou malignité ne s’opposent pas à l’humanité. Ils en constitueraient plutôt la trame essentielle. »