@Ariane Walter
Tu sais, avec des partis bricolés par différentes variantes de la secte, y compris (l’infiltré bourbon ?) Macron, le pis-aller que tu décris et dont je n’ai pas souhaité trouver les mots risque de continuer.
Il suffit de s’agrémenter de la fête de la musique élyséenne pour comprendre le régime de transgression mature que nous vivons.
Au moins, les forces technocrates et bureaucrates bruxelloises et financières parisiennes ont la reproduction assurée avec Macron. Puisqu’on vous dit qu’ils vivront de bytes-money et de robots, avec le migrant comme variable docile (sauf la garde rapprochée de l’Elysée, sous-traitée à un non-souchien) : la tragédie de la défiance et déviance absolue, sans doute.