« J’ai idéalisé Bernadette qui n’était qu’une pauvre idiote, dira plus tard Zola. Voilà une réflexion guère charitable, mais ce n’était un mystère pour personne »
Mauvais signe pour la qualité du roman.
Ce roman doit ressembler à « Un rêve », un des plus mauvais de la série des rougon marcquart, écrit quand zola avait à se faire pardonner ,pour briguer l’académie. Pardonner quoi ?...Pas vraiment « Germinal », qui parle de révolution et d’injustice, mais surtout « La terre », le roman qui a fait scandale et qu’on ne pardonnera jamais à Zola, dans une France aux trois quart paysanne....« La terre » s’en prend l’atavisme paysan, à la transmission, à l’appart du gain, et aussi à la soumission, à la religion qu’il ridiculise autant...« La terre » préfigure les outrances de Céline