Il faut noter aussi que le gouvernement Macron aurait eu l’occasion d’éviter ce psychodrame puisque le CDTF (comité de défense des travailleurs frontaliers) a demandé à Mme Buzin, au lendemain de sa nomination, de régler la situation « à l’amiable ». Or au lieu de s’en sortir la tête haute, la ministre a persisté dans l’impasse ouverte par son prédécesseur Mme Tourraine.