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En réponse à :


Hervé Hum Hervé Hum 22 septembre 2018 09:39

@Renaud Bouchard



mais peut on parler de « victimes françaises » ? C’est bien là, la question !

Si la colonisation avait été réussie, on pourrait effectivement parler de victime, mais celle-ci ayant échouée, on ne peut pas parler de victimes, mais d’envahisseurs ayant été chassés. Dans ce cas de figure, l’envahisseur repoussé est considéré comme un agresseur face auquel le colonisé à résisté, s’est défendu et obtenu sa libération.

Or, la justice ne reconnaît pas l’agresseur comme une victime dans l’action d’agression, mais uniquement lorsque l’agression a été stoppé, lorsque le défenseur n’est plus en légitime défense, mais en violence abusive. Sauf que dans le cas présent, se pose la question des français qui ne voulaient pas accepter de devoir partir et comptaient sur l’armée française pour les défendre, et leur permettre de rester, malgré le fait que la défaîte était déjà acté. Si le gouvernement à laissé faire, c’est pour persuader les français qu’ils n’avaient pas d’autre choix que de partir. Pour ne pas devoir faire appel à l’armée pour les forcer à partir.

Autrement dit, seule une colonisation réussie peut parler de victime, parce que l’envahisseur à changé de statut, pas si elle a échouée. Ceci, parce que l’Algérie avec les algériens, comme tous les pays du monde, sont des colonisations ayant réussies. Ne pas reconnaître ce principe, c’est poser la question de la France aux français.De la France colonisée par l’Allemagne nazie et des victimes civiles allemandes !

En tant que juriste, vous devez savoir que le principe de réciprocité est la base fondamentale de toute justice et sa non application, la base de toute injustice.


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