Très peu de Musulmans ont lu le Coran dans une langue qu’ils comprennent. Alors, s’ils peuvent le lire et le comprendre, cela peut multiplier le rejet de l’islam chez la plupart des Musulmans qui se revendiquent pacifistes.
D’un autre côté, ceux qui ont la violence en eux y trouverons toutes les justifications.
En d’autres temps, on lisait « le Capital » ou le « petit livre rouge » dans de bonnes traductions. Cela évitait l’apprentissage de l’Allemand ou du Chinois. Le choix de l’arabe, seule langue autorisée traduit une volonté hégémonisme des califes, la langue des échanges étant alors le Syro-araméen qu’il fallait évincer. L’Allemand et le chinois n’ont pas ce côté marginal que pouvait posséder l’Arabe à la fin du 7ème siècle.