L’ingérence humanitaire permet de faire le contraire de ce qu’on
dit en se donnant bonne conscience.
Elle permet aussi de maintenir dans l’ombre les conflits oubliés
par les médias ou les détresses chroniques, comme la situation de la population
au Yémen ou en Erythrée où, bizarrement, les ONG ne se précipitent pas, pas
plus que les alliés des USA ne s’émeuvent.
Bizarre, non ?