@Yanleroc
il faut se donner les moyens d’avoir des réponses, appuie Olivier Véran. « Cette affaire illustre l’émergence des maladies environnementales. On n’en est qu’au début. Il y a encore énormément d’inconnus. » Il réclame des équipes formées, capables d’intervenir sur site, de faire des recherches et d’assurer un suivi. « Cela nécessite des moyens importants. »
Ne pas laisser tomber l’enquête, pour comprendre, c’est aussi ce qu’espère Emmanuelle Amar, épidémiologiste et directrice du Registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), qui a lancé l’alerte sur ces bébés, sans bras ou sans mains.
Le REMERA, est sommé de disparaitre.
A moins que Stephan Bern ne la finance grâce au loto du patrimoine.