Ce n’est pas le GIEC qui est à l’origine de ce discours alarmistes, mais des groupes de scientifiques ayant fait des analyses plus approfondies, le GIEC ne fait que les relayer, il n’en est pas responsable.
Mais les avertissements on beau se multiplier, les épisodes de dérèglements climatiques devenir plus fréquents et plus violents, rien n’y fait, les gens font l’autruche et n’en croient pas un mot.
Les enfants d’aujourd’hui verront probablement disparaître les derniers grands animaux encore en liberté, mais c’est sans importance du moment que nous conservons notre « niveau de vie ». Toutes les ressources naturelles s’épuisent les unes après les autres, mais après nous le déluge.
Notre espèce ne mérite pas de survivre.