@cevennevive
Je n’ai jamais trop su que penser de Mélenchon. Maintenant, je
sais.
Curzio Malaparte a intitulé le chapitre consacré
au Führer, dans sa Technique du coup d’Etat : Hitler, une femme
Mélenchon, une femme – ça colle
Tout le contraire de l’homme à qui je prêtais
une bonne mentalité du fait de son mépris des journalistes.
La raison de sa disgrâce ? Son comportement
obscène lors de la perquisition de son « local ».
Quand on pense au bénéfice qu’aurait tiré un
homme intelligent, réfléchi, moyennement vicieux, affichant la désinvolture de l’homme supérieur qui maîtrise et ses nerfs, et la situation.
un triomphe national et une consécration internationale.
La scène : une cage d’escalier pleine de
monde, l’abruti(e) Mélenchon qui grimpe les marches en éructant, Bousculades,
cris, un spectacle navrant.
Rejouons la scène avec Paul Meurisse…
- Bien le bonjour, Messieurs de la maréchaussée.
Un temps :
- Puis-je m’asseoir et vous observer ?
Après tout, c’est moi qui vous paie, n’est-ce pas ? Je surveille votre fouille,
et, en même temps comme aime faire le roi Jupiter, je m’assure qu’il est fait
bon usage de mon argent.
C’est le buzz planétaire avec sous-titres,
jusqu’en tagalog, en telugu et en sebuano, ce n’est pas à portée de la femme Mélenchon