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papat 25 octobre 2018 08:32

@Spartacus
Tandis qu’elle nous sert le café, nous avons la conviction d’avoir trouvé notre femme : devant le Tribunal Moral, celle-là ne mollira pas. Elle témoignera sans faiblir, malgré les bataillons d’avocats alignés en face.
« C’est un prédateur. Qui nous méprise énormément. Pour lui, on n’existait pas. S’il a repris le groupe Boussac Saint-Frères, c’était pour avoir Christian Dior, mais nous il n’en avait rien à cirer.
- Quand est-ce que vous l’avez rencontré ?
 s’enquiert-on.
- C’était au moment de la reprise, en décembre 1984 je crois. C’était à Paris. Il y avait deux propositions de reprise : soit le groupe Férinel, Arnault donc, qui ne faisait pas de textile. Soit le groupe Bidermann. Arnault s’engageait à garder 12200 salariés sur les 15000, 1100 de plus que Bidermann.
- Donc, à l’époque, Bernard Arnault a sauvé 12200 emplois ?
- Bernard Arnault n’a rien sauvé du tout ! Tout ce qu’il voulait, c’est Christian Dior. Et Conforama. D’ailleurs, très vite, Arnault a revendu tout ce qui était dans la vallée de la Nièvre et dans la Somme. C’était pas un industriel du tout. 
 »


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