@#Shawford
" Considérer par quelque bout que ce soit que la perpétuation de
l’espèce humaine (en tant que distinction du reste du vivant) reste
subordonnée à l’amélioration de gènes physiques, c’est quand même
cocasse.Mais je suppose que tu voulais dire autre chose. «
je voulais bien dire ça mais bien entendu il faut nuancer. le réel n’est pas si caricatural et par exemple un film comme idiocratie montre que le social peut orienter les choses dans le sens inverse ......néanmoins ces pulsions biologiques restent a l’ oeuvre
» On a même tendance à être gouvernés par des nains dans toutes les acceptions possibles.«
oui mais attention a ne pas confondre une supériorité spatiale ( le singe qui est sur la plus haute branche ) avec d’autres supériorités ....l’ éthologie démontre ( et chez nous la politique ) que le mâle dominant est souvent moins avancé dans les divers domaines de l’ apprentissage de connaissances que les autres car trop occupé a maintenir sa position.
l’axiome du bidasse : » le chef a toujours raison car s’il n’avait pas raison il ne serait pas chef « est donc toujours ou presque invalidé par le réel ....voir également a ce sujet le principe de peter :
on voit donc ici aussi que le plus élevé socialement ( donc celui qui a la plus grosse voiture et les meilleures femelles ...) est le moins » évolué « ...raison pour laquelle notre espèce arrive a régresser malgré des mécanismes censée la faire évoluer ....
en conclusion cette citation de jonathan swift : » la différence entre l’homme et le chien c’est que les chiens sont toujours capables de choisir les meilleurs d’entre eux pour diriger la meute "