Le transport international utilise
un carburant détaxé et avec des normes de pollution très laxistes,
alors que nous autres
automobilistes français, dont la consommation représente deux pour mille
des rejets globaux d’effluents dans l’atmosphère, payons 70% de taxes et un carburant couteux en sortie de raffinerie vues les normes strictes.
Donc si l’écologie était vraiment l’objectif, cela nécessiterait de taxer au même niveau le transport intercontinental, et d’appliquer les mêmes normes de pollution
que celle des automobiles. On peut rêver, jamais la COP21 n’a envisagé
cela, le « système » mondialisé vise à entraver la production locale mais promouvoir les délocalisation à bas coût.