La position du mâle est de plus en plus fragile. Qu’il ne bande pas à la vue des piètres attraits de sa femme, celle-ci lui renvoie en pleine figure son manque de virilité. Qu’il bande trop souvent elle le transforme en satyre libidineux.
L’humiliation est une arme redoutable que nos compagnes manient avec un sadisme consommé.
Au train ou vont les choses, les mâles devraient vite préférer les péripatéticiennes aux bourgeoises ménagères. Leur contrat est clair, elles sont aimables avec le client et sur le long terme la prestation est moins onéreuse.
L’article invite à crier « vive les putes »