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Nicole Cheverney Nicole Cheverney 29 octobre 2018 13:00
Bonjour,

je pense que, comme tout est « politique » dans toute société, il suffirait de si peu pour qu’un bon coup de balai soit donné à toute la chienlit qui s’invite dans notre pays, et dans l’Occident, particulièrement.
Mais quel politicien courageux, va oser se dresser « vent debout » contre ces projets funestes pour notre société, en mettant un terme à la hideuse propension de quelques « riches » de se figurer que par le seul emploi de leur argent, il leur soit permis l’exploitation la plus honteuse de la misère humaine, celle de femmes issues de milieux défavorisés ?
Cela est monstrueux.
Mais dépassé ce constat, les promoteurs de la GPA sont dans une logique militante forcenée, pour « imposer » leur vision sociétale. Ce sont les archétypes du « fascisme » de demain, celui qui s’avance, actuellement, est particulièrement hideux et il vise à détruire : les familles - socle de toute société -, les pays et , les peuples, les nations, les valeurs, etc...

Ces « militants » qui se parent de la toge scientifique et de l’aura de la « modernité », du mythe prométhéen de « l’avance sur les autres, sur la marche du monde », nous montrent à quel point la GPA, peut être « barbare » dans sa conception même. Ce tripatouillage biologique est inconcevable, et ne mènera qu’à une société épouvantable ; N’ayons pas peur de dénoncer l’entreprise de malfaisance de ces promoteurs qui trouvent des relais un peu partout dans les médias et qui, par l’image, le son, le faux-débat, l’émotionnel, le sensationnel, instillent petit à petit dans l’esprit de nos contemporains, une « normalité acceptable » et envisageable, là où tout être un peu pourvu de réflexion, ne peut y voir qu’une détérioration de la pensée, par des actes à l’encontre de la raison.

Oui, il faut se battre contre cette contre-réforme qu’est la GPA, et EXIGER clairement un débat CONTRADICTOIRE, à ces thuriféraires de la déliquescence de notre société, qui le refusent, d’ailleurs, et de manière parfois violente, comme nous avons pu le constater, dernièrement, à la télévision, par le truchement des éructations de la « comique troupière » de service contre un jeune animateur de télévision qui calmement essayait d’argumenter au milieu de l’hystérie du faux-débat. Et derrière, les spectateurs qui applaudissaient sur commande, aussi bêlant qu’un troupeau de moutons. A ce stade-là de soumission, faut-il que les politiciens encore conscients, se lèvent !




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