@raymond 2

Désolé, mais vous ne pouvez pas prendre exemple sur plus pervers que vous, pour justifier votre propre perversité, quand dans le même temps vous affirmez combattre cette perversité.

Le député est censé défendre les valeurs éthiques fondées sur l’équité et qui, seules, permettent de contester le système actuel visant à favoriser l’iniquité sociale. Or, en agissant comme il le fait, c’est à dire, à faire comme ceux qu’il est censé combattre, peu importe le degré car c’est juste une affaire d’opportunité et de moyens, il affirme là sa duplicité et surtout, le pire, soutient le système qu’il est censé combattre et avoue que son militantisme est de pacotille, le but étant de chercher une niche où s’enrichir personnellement et en considérant les autres comme des pigeons.

Tel que présenté, ce monsieur n’a aucune excuse,l’argument de la légalité étant celui qui permet précisément de justifier l’illégitimité.

Ainsi, Macron est légalement élu, mais sa légitimité est contesté, or, si c’est uniquement la légalité qui compte, alors, toute dictature est légale, quelle que soit sa violence et, selon ce député, la légitimité ne peut être invoquée.

Faut être cohérent, vous ne pouvez tantôt mettre en avant la légitimité, tantôt la légalité selon votre intérêt, car alors, seul l’intérêt personnel prévaut et donc, aucune éthique basé sur l’équité ne peut être invoqué, mais uniquement l’éthique de l’iniquité sociale, c’est à dire, fondé sur le plus capable à abuser ses concitoyens. Ce que fait le député dans ce cas précis où il invoque la légalité et oubli la légitimité lié à sa situation économique qui lui interdit ce genre d’aide au présent.

Pour rappel comme vous dites, les perquisitions récentes utilisent le même subterfuge, jouant la confusion entre légalité et légitimité.