Bravo pour le camping sauvage dans tous les cas c’est une expérience de liberté et de retour aux sources « des pieds dans l’herbe », se laver dans les rivières, les lacs, trouver un coin pour dormir, l’autonomie et l’isolement...
J’ai pratiqué le camping sauvage sur les périodes estivales entre 2003 et 2008 avec ma femme entre la Slovénie, les Balkans, la mer noire (Roumanie, Bulgarie), la Turquie et jusqu’à Bakou pour faire le Caucase (Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan) et voir la mer Caspienne (18 000 km aller-retour).
Maintenant, toujours en camping sauvage avec les enfants mais avec plus de confort et surtout moins de distance...