@capobianco Et bien nous sommes d’accord. Mais combien d’entre les Français, au deuxième tour d’une présidentielle, arriveront à passer outre leurs réticences à glisser un bulletin d’un parti dit « clivant » dans l’urne au lieu de légitimer le candidat des puissances de l’argent ? Il y a loin de la coupe aux lèvres.