Bonjour Chalot, je suis passé dans votre ville mais j’ai perdu votre téléphone...
Pendant mes études, j’ai eu un prof dans ce qui se nommait la direction de la prévision au ministère des finances ; Un Énarque ; C’était encore au Louvre. J’ai été dans son bureau. Voilà ce qu’il m’expliquait et ce n’était que partiellement une simplification.
Bref, on faisait le budget, on voyait combien il fallait encore d’argent à dépenser, on choisissait ceux qui risquaient le moins de réagir et on leur augmentait d’un petit chouïa pour le reste emprunt.
Aujourd’hui, on « sent » que c’est plus réfléchit,plus étudié, plus anticipé... ON tape sur ceux qui bougent EN France, ceux qui ne peuvent pas bouger en France ( retraités), parce qu’on ne peut pas sur ceux qui ont la possibilité de bouger DE France.
Pas très juste, mais implacable logique.
Mais la vraie question reste le contrôle de la dépense publique.
Au minimum lui redonner de l’efficacité.