@Jean Dugenêt
Vous devriez rendre hommage à Marcel Déat, un grand pacifiste internationaliste très déterminé, à l’époque de la conférence de Münich, à rester pacifiste en dépit de tout ce qu’il pouvait observer dans une Europe où tout était en train de beaucoup changer. Il ne voulait, à aucun prix, « mourir pour Dantzig ». Je ne sais plus très bien de quelle manière, après le 10 juillet 40, il aura pu se tenir encore à une si sage résolution. Mais comme vous paraissez féru d’histoire, vous vous ferez probablement un plaisir de nous le rappeler.