Une révolution chasse la précédente, et toujours renaît la même structure sociale, avec les puissants du moment à son sommet et la multitude de ceux qui ne le sont pas à sa base.
Une multitude qui croît en nombre, 20 fois plus vite que le sommet. Et c’est ainsi que se creuse sans cesse l’écart entre les uns et les autres, ce dont ne manqueraient pas de profiter, comme leurs prédécesseurs, ceux qui détiendraient le prochain pouvoir.
Attention, le jaune est une couleur néfaste !