suite :
La forme du film donne du poids au propos ; il est structuré autour d’une série d’oppositions : visible/invisible, jour/nuit, entrée/sortie, apparition/disparition, reflet/ombre, vide/plein, parole/silence, transparence/opacité, ouverture/fermeture… L’architecture moderne y est montrée dans sa dimension fonctionnelle : des espaces ouverts, transparents, sans recoins, sans place pour des échanges sociaux ; des bureaux en ‘open spaces’ ; un long travelling d’un restaurant d’entreprise où chacun vaque dans sa bulle.
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