La plus grande pollution, ce sont les réseaux dits sociaux. On y vomit sa haine en feux continus. Et ensuite, cela se traduit dans les rue. Ils ont brûlé cette véritable intimité de la parole qui se réchauffe entre une bouffée de pipe et le craquement joyeux d’une bûche d’approbation à une réflexion de réconfort ;