Le but était l’éviction de Fillon aux présidentielles. Aujourd’hui l’intérêt de cette affaire a totalement disparu. Parce que s’il fallait s’attaquer aux emplois fictifs et autre malversations, on n’aurait plus grand monde à l’AN ni au Sénat. Enfin, il en resterait à peu près autant que lorsque les lois sont votées, c.a.d. une cinquantaine