@baldis30
bonjour,
Il faudrait interroger Mélusine, qui pourrait nous parler de synchronicités :
« Bien qu’il
soit juste et sain d’invoquer en première hypothèse le hasard face à de tels
phénomènes, il devient obscurantiste de maintenir envers et contre tout cette
hypothèse en présence de cas où elle ne résiste pas au calcul des probabilités. »
Ce ne sont pas les synchronicités qui posent problème, ce sont les répétitions : le maintien envers et contre tout de l’hypothèse du hasard face à de si troublantes occurrences relève clairement d’une violence obscurantiste. Plus qu’un déni de réalité, cela constitue un déni de personne dans la droite ligne des propos de Macron évoquant ces « gens qu’on croise dans les gares, qui ne sont rien ».
Il conviendrait avant toute chose, de procéder à un recensement des coïncidences avérées : à toutes les fois où l’on a pu poser la question : « à qui profite le crime ? », « Cui bono ».
Ce qui est remarquable dans ces événements c’est la place qui leur est donnée dans les médias, et qui est davantage proportionnelle au contexte politique qu’à la gravité des faits.