Ouvrons les yeux et faisons enfin face au principe
de réalité qui consiste en ceci que nous sommes en guerre, une guerre
non déclarée par la ploutocratie globalitaire mais bien réelle contre nous.
Et cette guerre est une guerre de classe, une guerre sociale d’un
genre nouveau, mais bientôt nous prendrons conscience qu’elle rejoindra
les autres guerres sociales telles que nous les avons connues par le
passé comme ce fut par exemple le cas à l’époque d’Adolphe Tiers.
Quand les victimes de la ploutocratie commenceront à tomber en masse,
alors nous prendrons la mesure des ravages causés contre nous et nous
nous mettrons en résistance avec les moyens idoines pour faire face à cet
assaut d’une violence inédite, car inévitablement, la violence appelle
la violence et le sang appelle le sang.
L’heure n’est pas encore là mais elle approche.
Le jaune est la couleur du jour qui vient, la couleur du soleil, nous, qui apparaît à l’horizon, c’est aussi la couleur de la puissance, la couleur du souffre et ça se sentira, mais aussi la couleur de la lumière, donc de la conscience collective qui prend forme graduellement et fait corps, tel un égrégore qui propulse le peuple. Nous vivons un moment historique dans lequel il n’est pas besoin de structure, comme l’on peut nous le seriner, car le périodes du genre portent en elles une créativité sans égal parce qu’elles agrègent et portent dans le même sens, ici et maintenant celui de la fin de cette ploutocratie génocidaire.